Un grand bonheur. C’est un seul vers de cette chanson, « Si maintenant j’oublie mon île », qui a touché Serge Airoldi au point de prendre la plume et de la laisser aller au gré des émotions que lui inspirait l’histoire personnelle de Moshé Brand.

L’auteur était enfant au moment du suicide de la star. Il a ressenti la nécessité de revenir sur le parcours meurtri qui va de Moshé Brand, l’enfant du rêve israélien, à Mike Brant, la star de variété des années 1970, jusqu’à son suicide en 1975.

Sous le texte attachant et poétique de Si maintenant j’oublie mon île, Serge Airoldi fait redécouvrir la fragilité d’un homme à qui tout réussissait.

Récit, étrange et envoûtant, qui autopsie le destin tragique du chanteur.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Serge Airoldi vit et travaille à Dax.

Après des études de lettres (hypokhâgne), de sciences politiques, d’histoire et de droit (faculté de droit de Toulouse), il intègre l’Ecole de Journalisme de Bordeaux où il rédige son mémoire de fin d’études sous la direction de l’écrivain-scénariste Pierre Christin.

Il devient journaliste dès 1991 au sein des rédactions de M6 à Bordeaux, de France Culture à la Maison de la Radio, à Paris et du journal Le Monde, à l’agence de Lyon.

Il rejoint le quotidien Sud Ouest (Bordeaux), de 1992 à 2008, et obtient en 1998, le premier Prix de la Fondation Alexandre-Varenne dont le jury était présidé cette année-là par Franz-Olivier Giesbert.

En 2002 et 2003, il est reporter à la rédaction de Sud Ouest Dimanche à Bordeaux. De 2003 à 2007, il dirige l’agence du quotidien à Dax. De 2007 à 2008, il dirige les rédactions du journal au Pays basque.

Depuis 2008, il est directeur artistique des Rencontres à Lire, le salon du livre de la ville de Dax et depuis 2014, outre cette fonction, il est engagé pour le développement du Livre et de la Lecture publique au sein de la collectivité.

Il collabore à la revue Actualités Nouvelle-Aquitaine de Poitiers. Depuis le premier numéro paru en 2005, il écrit aussi pour la revue littéraire Fario, à Paris dont il est membre du comité de rédaction depuis 2013.

Il participe et a collaboré à plusieurs autres revues, comme auteur ou chroniqueur littéraire : Phœnix, Confluences Méditerranée, Europe, Le Matricule des Anges, Le Festin, Catastrophes.

Il a contribué à plusieurs ouvrages collectifs et à des livres d’artistes. Notamment en 2016, Oublier qu’on peint, paru aux Éditions Gourcuff Gradenigo, à propos de l’œuvre du peintre-sculpteur Lydie Arickx, à l’occasion de son exposition à la Conciergerie de Paris.

Passionné par ces deux univers , il a publié des livres sur le cirque (Costumes de Cirque, Le Rouergue, 2011) et le flamenco (Arte Flamenco, Gaïa, 2008).

Il a créé, en 2017, et dirige la collection Pour dire une photographie aux éditions Les Petites Allées, de Rochefort.

Le 30 novembre 2017, il a reçu sous la Coupole, le Prix Henri de Régnier que décerne l’Académie Française, pour Rose Hanoï, publié en janvier 2017 aux éditions Arléa.

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SERGE AIROLDI

Si maintenant j'oublie mon île

 

Avec le chanteur qui s’est suicidé en 1975, Serge Airoldi entreprend une quête des origines et des déracinements.

Peu nombreux se souviennent d’une chanson de Mike Brant intitulée Un grand bonheur. C’est un seul vers de cette chanson, « Si maintenant j’oublie mon île », qui a touché Serge Airoldi au point de prendre la plume et de la laisser aller au gré des émotions que lui inspirait l’histoire personnelle de Moshé Brand.

L’auteur était enfant au moment du suicide de la star. Il a ressenti la nécessité de revenir sur le parcours meurtri qui va de Moshé Brand, l’enfant du rêve israélien, à Mike Brant, la star de variété des années 1970, jusqu’à son suicide en 1975.

Sous le texte attachant et poétique de Si maintenant j’oublie mon île, Serge Airoldi fait redécouvrir la fragilité d’un homme à qui tout réussissait.

Récit, étrange et envoûtant, qui autopsie le destin tragique du chanteur.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Serge Airoldi vit et travaille à Dax.

Après des études de lettres (hypokhâgne), de sciences politiques, d’histoire et de droit (faculté de droit de Toulouse), il intègre l’Ecole de Journalisme de Bordeaux où il rédige son mémoire de fin d’études sous la direction de l’écrivain-scénariste Pierre Christin.

Il devient journaliste dès 1991 au sein des rédactions de M6 à Bordeaux, de France Culture à la Maison de la Radio, à Paris et du journal Le Monde, à l’agence de Lyon.

Il rejoint le quotidien Sud Ouest (Bordeaux), de 1992 à 2008, et obtient en 1998, le premier Prix de la Fondation Alexandre-Varenne dont le jury était présidé cette année-là par Franz-Olivier Giesbert.

En 2002 et 2003, il est reporter à la rédaction de Sud Ouest Dimanche à Bordeaux. De 2003 à 2007, il dirige l’agence du quotidien à Dax. De 2007 à 2008, il dirige les rédactions du journal au Pays basque.

Depuis 2008, il est directeur artistique des Rencontres à Lire, le salon du livre de la ville de Dax et depuis 2014, outre cette fonction, il est engagé pour le développement du Livre et de la Lecture publique au sein de la collectivité.

Il collabore à la revue Actualités Nouvelle-Aquitaine de Poitiers. Depuis le premier numéro paru en 2005, il écrit aussi pour la revue littéraire Fario, à Paris dont il est membre du comité de rédaction depuis 2013.

Il participe et a collaboré à plusieurs autres revues, comme auteur ou chroniqueur littéraire : Phœnix, Confluences Méditerranée, Europe, Le Matricule des Anges, Le Festin, Catastrophes.

Il a contribué à plusieurs ouvrages collectifs et à des livres d’artistes. Notamment en 2016, Oublier qu’on peint, paru aux Éditions Gourcuff Gradenigo, à propos de l’œuvre du peintre-sculpteur Lydie Arickx, à l’occasion de son exposition à la Conciergerie de Paris.

Passionné par ces deux univers , il a publié des livres sur le cirque (Costumes de Cirque, Le Rouergue, 2011) et le flamenco (Arte Flamenco, Gaïa, 2008).

Il a créé, en 2017, et dirige la collection Pour dire une photographie aux éditions Les Petites Allées, de Rochefort.

Le 30 novembre 2017, il a reçu sous la Coupole, le Prix Henri de Régnier que décerne l’Académie Française, pour Rose Hanoï, publié en janvier 2017 aux éditions Arléa.

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